Автор: Пользователь скрыл имя, 09 Декабря 2010 в 15:56, доклад
Доклад об экономиках Франции, России и Германии на французском языке
Par son produit intérieur brut, la France est la cinquième puissance économique mondiale. Ses atouts sont divers: transports, télécommunications, industries agro-alimentaires, produits pharmaceutiques, mais aussi le secteur bancaire, l’assurance, le tourisme, sans oublier les traditionnels produits de luxe (maroquinerie, prêt-à-porter, parfums, alcools…).
Structurellement l’économie française se caractérise par la place importante des petites et moyennes entreprises (PME).
Le fer de lance de l’industrie française constituent les entreprises de la construction électrique, de l’automobile, celles de la chimie et de ses branches connexes, le caoutchouc et le verre.
Cinq activités de pointe, toutes fortement exportatrices, contribuent au nouvel essor de l’économie française: l’électronucléaire, l’électronique et ses applications dans l’informatique, le buraeutique et la télématique; l’aéronautique et l’aérospatiale, l’industrie d’armement et ferroviaire.
L’agriculture française est caractérisée par sa variété. La viticulture, l’horticulture et la floriculture jouent un grand rôle dans l’économie du pays. La France reste la principale puissance agricole européenne se classant au premier rang pour la production du blé, du vin, au deuxième – des céréales secondaires, du lait, du beurre, de la viande.
La filière agro-alimentaire est la seconde branche de l’économie française, sa valeur ajoutée est supérieure à celles de la chimie ou de l’automobile. Elle fournit 16% des exportations françaises. L’ouverture des frontières, la diversification de l’alimentation entraînée par l’urbanisation et l’essor des supermarchés, la modernisation et la concentration des exploitations agricoles ont été, depuis trente ans, des stimulants d’une industrie devenue la troisième du monde.
L’économie française est principalement une économie de services. Le secteur tertiaire occupe 72 % de la population active, tandis que le secteur primaire (agriculture, pêche) n’en représente plus que 4 % et le secteur secondaire (industrie) 24 %.
Si la Russie n’est plus une des premières puissances économiques mondiales comme au temps de l’Union soviétique, elle demeure aujourd’hui une des 10 économies les plus importantes au niveau international, avec des ressources naturelles inégalées, une population de plus de 140 millions d’habitants, des compétences scientifiques et techniques parmi les plus avancées du monde, et une croissance économique forte depuis l’année 1999. La Russie est membre du club des pays les plus industrialisés, le G8.
Par son économie, la Russie se distingue par quatre caractéristiques majeures :
Les indicateurs de niveau de vie situent la Russie parmi les pays à niveau de vie intermédiaire.
Economie de la Russie : structure
La Russie est le deuxième producteur mondial de pétrole et le premier de gaz naturel, et parmi les premiers producteurs mondiaux de nombreux métaux. Ces ressources sont parfois difficilement accessibles, car situées en particulier au nord de l’Oural et en Sibérie. Les régions pétrolières du pays gazière et metalifère sont parmi les plus riches du monde. Le pétrole représente, selon les calculs de la Banque mondiale, un quart du produit intérieur brut (PIB), et le tiers des recettes du budget fédéral. La Russie dispose d’un quart des réserves de bois du monde[]. Elle est le premier pays exportateur et le secteur représente 4,3 % du PIB russe.
La Russie a hérité de l’Union soviétique un socle industriel très important, mais vieilli, avec une très faible proportion de petites entreprises et quelques secteurs de pointe, notamment dans le complexe militaro-industriel. Les armes produites, comme par exemple, le Su-27, commercialisé par l’agence Rosoboronexport ont un grand succès à l’exportation.
Les conditions climatiques de la Fédération ne lui permettent une mise en culture de ses terres que sur une période relativement courte. La dimension de sa surface agricole utile et le facteur climatique permettent sans doute d’expliquer que son agriculture soit extensive plutôt qu’intensive comme c’est le cas en Europe occidentale.
Avec plus de 200 millions d’hectares de terres cultivables, la Russie est un des principaux producteurs mondiaux de céréales et de pommes de terre. La production agricole russe, après avoir baissé fortement de 1992 à 1998, croît faiblement depuis 1999 ; mais grâce à la plus grande efficacité de la distribution et aux importations, la Russie ne connaît plus les pénuries alimentaires de l’époque soviétique.
Les exportations russes ont progressé à un rythme rapide ces dernières années du fait de la hausse des cours du pétrole. La Russie exporte avant tout des matières premières, et notamment du pétrole, du gaz et des métaux pour près de 80%. Les produits provenant de la pêche en Russie fournissent le quart des marchés mondiaux. La Russie exporte par ailleurs des produits manufacturés sur les marchés proches ainsi que des armements (notamment en Chine et en Inde).
Malgré une ouverture importante dans les années 1990, la Russie est un marché avec des barrières commerciales plus importantes que dans les autres pays industrialisés. Les importations de biens de consommation et de produits agro-alimentaires dominent dans les achats de la Russie.
L’Allemagne est LA PREMIERE PUISSANCE MONDIALLE DU COMMERCE EN 2009. En 2006, l’excédent de la balance commerciale se montait à 167 milliards d’euros. Ce dynamisme s’explique par divers facteurs:
L’Allemagne s’est spécialisée dans les produits d’équipement ; en 2003, le secteur automobile représentait 19% des exportations allemandes. Viennent ensuite les exportations de machines-outils (14% du total) et de produits chimiques (12% du total). L’excédent commercial élevé de l’Allemagne (allemagne géographie) est un signe de la bonne santé économique du pays. Ainsi, le chômage a fortement baissé, atteignant en 2006 8,6 % de la population active, et 7,6% en août 2008 (soit 3,19 millions de chômeurs). La priorité donnée aux échanges extérieurs par l’Allemagne (économie allemande) s’est accompagnée depuis 2000 d’une série de réformes encourageant la compétitivité (dont le plan Hartz), à tel point que la rémunération salariale a baissé en termes réels entre 2001 et 2005 .
Ces réformes seraient à l’origine du regain de croissance économique et des créations d’emplois.
Après une décennie de faible croissance, l’Allemagne retrouve des taux de croissance élevés depuis 2005 . Cette économie est une des plus compétitives au monde. Selon Le Figaro, « ce “come-back économique” de l’Allemagne (tourisme économie) est dû aux “réformes en partie très étendues” mises en oeuvre par le gouvernement précédent de Gerhard Schröder et initialement poursuivies par la grande coalition d’Angela Merkel ». Il s’agit en particulier de la réduction de la durée d’attribution de l’allocation-chômage, ainsi que du passage progressif à la retraite à 67 ans.
Selon Bruno Durieux en février 2008, « l’Allemagne (allemagne géographie)
est le seul des grands pays développés qui, par des réformes globales
et profondes, difficiles, réalisées pour l’essentiel par le chancelier
Schröder, est parvenue à restaurer sa compétitivité et réduire
ses déséquilibres internes. En particulier, ses finances publiques
sont aujourd’hui équilibrées et sa compétitivité-coût a retrouvé
son niveau d’il y a cinq ans. »
Le Nord d’Allemagne (allemagne géographie) dispose de grands ports tel que celui de Hambourg, d’un accès sur la mer Baltique et la mer du Nord, d’un faible taux de chômage, d’une industrie diversifiée mais a tout de même d’un dynamisme moyen et d’une croissance économique moyenne.
Les “nouveaux
Länder” gardent des considérables handicaps économiques, malgré
les aides importantes qui leur ont été consacrées et les grands travaux
d’infrastructures réalisés. Le taux de chômage en ex Allemagne (économie
allemande) de l’Est est environ le double de la moyenne nationale.
La Saxe est la région la plus dynamique en ce qui concerne l’économie
de l’Allemagne (allemagne géographie) de l’Est. Les principaux centres
économiques en sont Dresde, Leipzig, Chemnitz et Zwickau. Plusieurs
grandes entreprises comme AMD,
Infineon, BMW, Siemens,
Porsche, VW, EADS, GlaxoSmithKline ont largement
investi. L’Est est par ailleurs une région qui souffre des difficultées
liées a son ex-idéologie communiste qui apparait encore finement mais
d’une façon marquante dans la vie des allemands de cette région.
Les Länder
de Bavière et du Baden-Wurtemberg ont su tirer parti depuis le Moyen
Âge d’une situation de carrefour entre la mer du Nord et la mer Méditerranée.
Contrairement à la Ruhr, le sud de l’Allemagne (allemagne géographie)
ne dispose pas de réserve de charbon. Son développement industriel
s’est donc manifesté plus tard, essentiellement au XXe siècle. Des industries
dynamiques se sont alors créées: BMW,
Adidas, industries aéronautiques. La Bavière a bénéficié
des nouvelles activités issues de la troisième révolution industrielle.
La Ruhr est une région industrielle et urbaine située au nord-ouest de l’Allemagne. Elle bénéficie d’une situation favorable de confluence entre le Rhin et son affluent la Ruhr (port fluvial de Duisbourg). Elle est au coeur de la mégalopole européenne et profite d’un important bassin de main-d’oeuvre et de population: la Ruhr est aussi une conurbation de plusieurs millions d’habitants. La région (allemagne géographie) urbaine inclut les villes d’Essen, Düsseldorf, Cologne… Au XIXe siècle, la Ruhr a fondé son développement sur l’exploitation des mines de charbon.
La révolution industrielle a permis à l’Allemagne de se hisser aux tout premiers rangs des puissances industrielles à la fin du XIXe siècle. Aujourd’hui, la région doit reconvertir ses activités: l’exploitation du charbon de la Ruhr est devenue trop coûteuse face à la concurrence des charbons étrangers. Il est plus rentable d’importer le charbon et le fer par le Rhin.
Quelques puits de mines survivent grâce aux subventions fédérales. Mais le chômage dépasse la moyenne nationale.